La société réclame plus de vert et de social…
et la RSE se fait plus pressante auprès des chefs d’entreprise.
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Le GIEC révèle que les impacts du dérèglement climatique vont s’accélérer et bouleverser nos sociétés et modes de vie bien avant 2050 : pénurie d’eau, épisodes de canicule et inondations de plus en plus nombreux, extinctions des espèces, malnutrition, exodes…
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En signant l’accord de Paris en 2015, le monde s’est engagé à limiter le réchauffement à 2 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Aujourd’hui, le GIEC estime que dépasser le seuil de 1,5 °C suffirait déjà à entraîner, «progressivement, des conséquences graves, pendant des siècles, et parfois irréversibles ».
Une métamorphose devient urgente dans une société où tout à chacun réclame de plus en plus de vert et de social. Les consommateurs, mais aussi les investisseurs, les salariés demandent aux entreprises un droit de transparence et de vigilance sur leurs engagements, ce qui devient une des composantes centrales de leur stratégie.
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COMMENT LES ENTREPRISES PEUVENT-ELLES RÉPONDRE À CES ENJEUX?
Raison d’être, RSE, Performance Extra-Financière…
Des facteurs largement pris en compte par les financiers : les banques ont besoin des données sur la RSE avant d’accorder des prêts ; les investisseurs doivent justifier la part de « vert » dans leurs choix de participations. C’est une tendance de fond illustrée par la croissance des fonds ESG. Le règlement européen sur la taxonomie verte s’apprête à l’utiliser pour évaluer l’activité d’une entreprise et sa durabilité en termes environnementaux, sociaux et sociétaux.
Au bout du compte, la RSE s’avère être une opportunité bien plus qu’une contrainte.
Aujourd’hui, en France et en Europe la déclaration de performance extra-financière, qui présente et détaille les actions menées en faveur de la préservation de l’environnement et de la responsabilité sociale et sociétale, est obligatoire pour la quasi-totalité des entreprises de plus de 500 salariés. Elle impose la publication d’indicateurs chiffrés et vérifiés par des Organismes Indépendants Tiers validant la conformité et la sincérité de la DPEF.
En 2023, ce périmètre sera élargi aux entreprises européennes de plus de 250 salariés (Corporate Sustainability Reporting Directive).
Grâce à la digitalisation et à l’automatisation des processus, les gains de temps pour réaliser ces reportings extra-financiers sont immenses.
La digitalisation facilite et accélère la transformation de l’économie vers un développement plus durable.
Une entreprise française de la RegTech, kShuttle, propose une innovation technologique dédiée à la gestion du pilotage de la Performance Extra-Financière. Elle équipe des grands groupes comme Ariane Espace, Safran, JC Decaux, …
Cette solution permet aux entreprises de collecter les données issues de différentes sources, de les analyser selon les indicateurs retenus, de les publier et de gérer des plans d’actions pour suivre leur performance, l’inscrire dans une trajectoire et déployer leur stratégie RSE.
Cédric O, Secrétaire d’Etat chargé du numérique, disait récemment que “notre dépendance quotidienne aux outils numériques américains, rendue encore plus évidente par la crise, est une préoccupation pour la souveraineté française. Cela valide l’ambition de longue date du Gouvernement de faire émerger des champions français. Nous devons encore accélérer.”
kShuttle, leader dans la French Tech dans ce domaine , est le spécialiste du pilotage de la performance extra financière qui permet de répondre à ce double enjeu de la transition digitale et sociétale.